La devise de Tsubaki c’est de vivre selon ce que lui dicte son cœur. Alors, lorsqu’elle rencontre fortuitement Ibuki et craque pour ce garçon, elle fait tout pour le retrouver.
Dans une lettre qui lui est adressée, elle exprime son souhait de vivre une histoire d’amour heureuse et ordinaire avec lui. Sauf que la jeune fille ne sait pas encore qu’Ibuki est malentendant : il ne peut pas lui offrir cette histoire d’amour « ordinaire » qu’elle désire tant…
L’essentiel est inaudible pour les oreilles, on n’entend bien qu’avec le cœur…
Dans cette histoire Tsubaki va écouter son cœur et chercher le garçon qu’il a croisé dans les transports, ce garçon n’est autre qu’Ibuki, un autre élève de son école qui est mal entendant ce qu’elle ne découvrira que par la suite. Car ils ne communiquent que par écrit. Elle qui cherche une histoire « ordinaire » car c’est quelque chose de très important pour elle mais que signifie être « ordinaire » ? Quelle est cette normalité ordinaire que cherche tant Tsubaki ?
Une agréable façon de traiter de la différence et du handicap. Ibuki est sourd mais il cache aussi d’autre secret. Si Tsubaki à cette devise ce n’est pas sans raison Tsubaki a un lourd passif face à la maladie. Elle est loin d’avoir eu une enfance normale.
Un manga très agréable avec des personnages attachants de par leur différence et leurs caractères. Tsubaki n’a pas la même façon de penser que tout le monde car elle a frôlé la mort et cela change profondément la manière de penser et de vivre des gens qui subissent cela.
Avec un couverture très douce et au couleur pastel,
J’ai était intriguée par le titre « comme les autres » qu’est-ce que cela signifie ?. Pourquoi ce titre ? Les dessins sont vraiment agréables, est fins. J’ai vraiment apprécié ce manga et son histoire, ce premier tome plante en quelque sorte le décor.
Éditeur : Kana – Collection : Shojo Kana – Scénario et Dessin : NojinYuki – Traducteur : Misato Raillard – Date de parution : 23 avril 2021 – 192 pages – Prix : 6,85 €.