Cette conversation a eu lieu le 28 avril 2023.

Que vous inspirent les années 70 ? Le changement. Une forme de liberté. C’est très imaginaire vu mon année de naissance [ndlr 1978].

Débarquer dans une série à succès, ça fait quoi ? Y a t’il une forme de pression ? Non. C’est agréable. On a le trac bien sûr. Mais pas vraiment de pression. Car on a vraiment été très bien accueillis par l’équipe historique. On travaille tous dans le même sens.

Votre personnage est une femme de pouvoir dans une milieu très masculin. De quelle manière avez-vous abordé cela ?
C’était plaisant. Je l’ai interprétée avec beaucoup d’humour. Aujourd’hui, on sait qu’une femme peut réaliser beaucoup sur le plan professionnel. D’ailleurs, le boss de France Télévisions [ndlr : la série est diffusée sur France 2] est une femme. La productrice de la série également. Mais, à l’époque, ça devait être plus compliqué.

Quels sont les qualités et les défauts d’Annie Gréco ? En quoi vous ressemble t’elle ? Et quelles sont vos différences ? Annie Greco est un personnage de fiction. C’est de l’encre au départ. Il y a beaucoup de moi car je l’interprète. Déjà physiquement ! Et je fume. Comme elle. Mais, n’oublions pas que c’est un personnage de fiction.

Votre mot de la fin.
On espère que le public appréciera !
