Le dragon noir écrit par Penelope Williamson
Angleterre, 1157. Les Normands s’abattent sur le pays de Galles. À leur tête, le plus sauvage d’entre tous : Robert le Bâtard, surnommé le Dragon Noir. Fils illégitime du comte de Chester, ce chevalier sans terre a jeté son dévolu sur Rhuddlan, un fief appartenant au seigneur de Gwynedd. Cet homme, Arianna le hait. À la première occasion, elle le tuera. Elle se l’est juré. Mais pour l’instant, ligotée et bâillonnée au fond de la tente du conquérant, elle est réduite à l’impuissance…
Ennui…
J’ai eu beaucoup mais vraiment beaucoup de mal avec cette romance.
L’histoire est très décousue. Ce n’est juste qu’une succession d’événements qui pour certains se contredisent et dont la logique laisse à désirer.
Les personnages n’ont rien d’attachants. Au contraire : le héros est un violeur (excusez-moi mais peu importe les circonstances et le style d’écriture de l’auteure, un viol reste un viol), un rustre qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez. L’héroïne quant à elle a selon moi des problèmes de bipolarité. La veille elle était prête à égorger l’ennemie, le lendemain, elle est tout sourire et lui compte fleurette. Deux jours après elle le détestent à nouveau… Où est la logique ?
Les personnages secondaires ont plus de caractères que nos deux héros.
Outre cela, l’auteure a essayé d’ajouter un côté mystique à l’histoire à travers des visions et des êtres d’un autre temps… Sauf que cela a été fait de manière si maladroite que cela tombe comme un cheveu dans la soupe.
Editeur : J’ai lu – Date de parution : 26 Septembre 2018 – 384 pages – Prix : 7,95€.