Feed The Beast (Saison 1)

Feed The Beast (Saison 1)

Encore une nouveauté que j’ai voulu essayer. Et une fois de plus, il fallait bien que je partage mon opinion avec vous non ?

Feed The Beast a vu le jour au mois de Juin dernier, sur AMC (la chaîne de The Walking Dead). Et dès le premier épisode, on a vu naître un univers bien particulier, preuve que la série a sa propre personnalité.

Synopsis : L’amitié entre deux amis ouvrant ensemble un restaurant.

Synopsis trop court et vraiment loin de représenter la série à mon avis ! Il faut déjà savoir que Feed the Beast est une adaptation de la série Danoise Bankerot. Personnellement je n’ai pas cherché à voir l’originale puisque celle-ci m’a plu du 1er coup. Je ne pourrais donc pas vous dire si la série actuelle est une adaptation réussie ou plutôt médiocre.

Au casting : David Schwimmer (Coucou Ross de Friends), Jim Sturgess (Deux sœurs pour un roi), David Patrick Kelly (Crooklyn) et Geoffrey Cantor (Marvel’s Daredevil). La série a été créée par Clyde Phillips.

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Quoi qu’il en soit l’histoire est bien plus profonde que de simples amis qui veulent ouvrir un restaurant dans le Bronx (bien que ce soit un défi de taille). En effet, l’amitié est là, mais elle tourne autour d’un point central et porteur : la mort d’un personnage important il y a quelques mois.

Cette mort laisse son empreinte sur tous les personnages principaux qui, évidemment, ont eu un lien très fort avec elle. Et si l’on pensait que cet événement était tout simplement le fruit du hasard, tout au long des épisodes va se créer un tout nouveau schéma et une remise en question énorme.

Si bien que cela va affecter tous les protagonistes en place et par association, le restaurant.

Je dois dire que j’ai énormément pensé à la série Hannibal en regardant celle-ci. Non pas pour le côté psychopathe puisqu’il n’y en a pas. Mais pour le côté gastronomique. J’ai eu faim à chaque épisode. La cuisine de Dion Patras, a l’air exquise et tout est fait pour envoûter le spectateur. Je peux vous dire que sur moi, ça marche du tonnerre. Néanmoins, c’est vite la frustration quand on voit que nos placards n’ont pas la même qualité que les plats servis dans la série !

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J’ai adoré voir David Schwimmer dans un autre registre, plus sérieux et dramatique. Il joue un homme en deuil à la perfection et arrive vraiment à nous convaincre. J’ai adoré John Doman qui joue le père du personnage de David Schwimmer. Une prestance et une « badass attitude » au top. Et bien évidemment le personnage de TJ. 

J’ai également été séduite par l’histoire bien que parfois mal orchestrée. En effet, certains épisodes présentent trop d’intrigues annexes et qui ne seront pas réglées tout de suite. Les choses traînent ensuite en longueur et prennent parfois de la place pour rien. On a même l’impression que la trame principale est oubliée à des moments.

Mais je vous rassure, ce n’est pas vraiment le cas, puisque jusqu’au final, nous avons bien une intrigue qui prospère. Et le final nous laisse sur un cliffhanger de folie. C’est d’ailleurs aussi pour cette raison que j’espère une saison 2.

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D’une part, il y a matière à exploiter, et deuxièmement j’ai accroché au côté familial de la série. Certes elle n’est peut-être pas la révélation de l’année dans la catégorie séries estivales mais c’est une série comme on les aime : simple, innovante et accrocheuse. Avec un cast attachant et une histoire touchante sans pour autant tomber dans le cliché « feux de l’amour ».

Un seul regret : 10 épisodes qui m’ont paru insuffisants. 

 

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