The Mist est une série Netflix disponible depuis le 22 juin 2017 et qui s’est achevée le 24 août 2017. Je viens à peine de la terminer, et donc je me suis dit que vous en parler serait plutôt sympa non ?
Pour rappel, Cécilia avait déjà fait une petite présentation de la série que je vous invite à lire ICI.
La série m’a laissé un peu perplexe dans le sens ou le scénario m’a poussé à visionner la saison jusqu’au bout, mais d’un autre côté il y a eu beaucoup de longueurs.
Premièrement, ce qui m’a dérangé c’est que la série est vraiment similaire à Under The Dome. Et je n’ai pas apprécié du tout cette dernière. Les personnages sont complexes et dérangés, c’est du Stephen King tout craché, il n’y a pas de doutes. Mais paradoxalement ils plutôt attachants même si parfois agaçants ! Je pense notamment au personnage incarné par la belle Alyssa Sutherland.
Je ne sais pas réellement quel est le gros problème de cette série mais elle manque vraiment d’attrait et c’est pas vraiment le genre à nous en mettre plein la vue. Il n’y a pas ce goût de « Reviens-y » même si une part de mystère est constamment cultivée. On a envie de savoir ce qu’il se cache dans cette brume, qui est à l’origine de cette brume … Je suis désolée je ne peux pas m’empêcher de penser au déroulement de Under The Dome et c’est peut-être ces similitudes qui m’ont bloqué.
Finalement à part le casting et le scénario un peu différent, The Mist n’arrive pas du tout à se démarquer et si le final nous donne carrément envie de voir la suite et bien c’est raté car pas de saison 2 prévue … le goût d’inachevé n’arrange pas du tout les choses.
En bref j’ai aimé : l’univers de Stephen King, le complot sous le scénario de base, les acteurs.
J’ai détesté : la forte ressemblance dans le déroulement de l’intrigue à Under The Dome, le manque de charisme du scénario, les longueurs, l’absence de renouvellement de la série.
The Mist est une série à voir absolument si vous êtes fans de Stephen King, que vous ayez lu le livre ou vu le film. Pour les autres, si vous aimez en prendre plein les yeux et que vous avez l’habitude des chefs-d’œuvre :
FUYEZ PAUVRES FOUS !
