Kira Navárez rêvait d’un monde nouveau. Elle vient de réveiller un cauchemar d’une ampleur intersidérale… Lors d’une mission de routine sur une planète inconnue, Kira découvre un organisme vivant d’origine extraterrestre. Fascinée, elle s’approche de l’étrange poussière noire. La substance s’étend sur tout son corps et commence à prendre le contrôle. Kira, en pleine transformation, va explorer les dernières limites de sa condition d’être humain. Mais quelle est l’origine de cette entité ? Quelles sont ses intentions ? La scientifique n’a pas le temps de répondre à ces questions : la guerre contre les aliens est déclarée, et Kira pourrait bien être le plus grand et le dernier espoir de l’humanité.
Je me dois d’être honnête : Je ne connaissais Christopher Paolini, que de nom. Sa notoriété dans le monde de la littérature m’intriguait, et j’étais impatiente de lire Idéalis, pour me faire mon propre avis sur son écriture et son univers. Bien que le livre fasse 848 pages, et bien que ça puisse effrayer un petit peu, j’étais sûre de m’immerger complètement dans l’histoire. Nous découvrons donc l’histoire de Kira, une exobiologiste qui parcourt de nombreuses planètes, à la recherche de formes de vie développées afin de les analyser avant que des colons ne viennent s’installer sur la planète en question. Mais, lors de sa dernière mission, elle découvre les traces d’une civilisation extraterrestre, ainsi qu’une étrange poussière noire qu’ils ont laissée derrière eux. Une poussière qui va l’engloutir et s’intégrer dans son corps, littéralement. Sa vie va en être bouleversée. Je dois dire que la description de l’univers de Kira est très intéressante. Il y a énormément de détails scientifiques sur chaque planète, parfois il y a des mots que l’on ne comprend pas, mais cela reste malgré tout intéressant. J’ai adoré la manière dont on apprend à connaître les personnages. Ils sont tous attachants, bien que Kira reste l’héroïne principale, et que c’est son histoire qui nous intéresse. Malgré cela, j’ai trouvé le rythme de l’histoire beaucoup trop long. Trop de passages où il ne se passe rien, ou peu de choses. Des actions qui traînent en longueur… J’ai trouvé cela dommage, car l’écriture de Christopher Paolini reste quand même très attrayante. L’histoire et l’univers restent quand même spectaculaire. Il faut juste s’accrocher, afin de ne pas lâcher le livre trop tôt… Mais je suis persuadée que les scientifiques fans de sciences-fictions trouveront leur bonheur dans ce roman !
Editeur : Bayard Jeunesse – Date de parution : 14 octobre 2020 – Prix papier : 19,99€ – Format numérique : 13,99€ – 848 pages.
