Claude Izner revient avec la suite du Pas du Renard, second opus de leur nouvelle série de romans à suspens dans le Paris des années folles et des boîtes de jazz.
Jeremy Nelson, jeune pianiste Américain passionné de jazz, part à Londres en septembre 1921 sur les traces de ses ancêtres, et y rencontre un certain Victor Legris… De retour à Paris, il sera mêlé sans le vouloir à une série de morts étranges touchant plusieurs personnes travaillant dans l’univers du spectacle. Près de chaque cadavre on découvre une carte postale représentant un tableau de la Renaissance, le portrait de Simonetta Vespucci, qui posa, entre autres, pour Botticelli.
La Femme au Serpent écrit par Claude Izner, le pseudonyme de deux frangines, Mamies de l’excellent polar Français, est la suite du roman Le Pas du Renard. On retrouve le héros à son retour de Londres. Mais, malheureusement, il n’a pas laissé ses ennuis lors de son escapade touristique Britannique. De fait, il est face à de sérieux ennuis (quelques cadavres, ce n’est pas rien dans la vie d’un homme). Mais, que se passe t’il, bon sang ? Le ciel tombe de nouveau sur la tête de Jeremy Nelson.
Je me suis retrouvé propulser dans un Paris joyeusement fantasmé, d’un après-guerre difficile (1918 n’est pas si loin et cette belligérance fut rude). Par ailleurs, la quête du héros me parle puisque je remonte moi-même mes origines avec un arbre généalogique.
Et puis, quel est le lien entre tous ces meurtres et la Renaissance ?
Un thriller haut en couleur.
Éditeur : 10/18 – Collection : Grands Détectives – Date de parutions : 01 juin 2017 – 342 pages – Prix : 16,90 €.